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 Animor Dissah

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AuteurMessage
Animor Dissah

Je me suis toujours pas présenter, je suis nouveau
Animor Dissah

Féminin
Nombre de messages : 2

Feuille de personnage
Année/Métier: 11 ans
Animal domestique: une souris
Pensée du moment:


Animor Dissah Vide
MessageSujet: Animor Dissah   Animor Dissah Icon_minitime1Jeu 3 Déc - 22:51


b]Nom:[/b] Dissah

Prénom:Animor

Âge:11 ans

Clan:étudiant

Sexe: féminin

Sang: impur

Statut social: classe moyenne

Baguette: Baguette de chêne de 29cm avec du poil de queue de licorne

Cours:

Moyenne des notes:

Signe particulier:

Aspect physique: Malgré son jeune âge, Animor a un corps développé et une stature imposante pour ses 11 ans. Toutefois, son visage n’a pas perdu l’innocence de l’enfance et ses boucles dorées, ramassées en deux lulues bondissantes, lui donnent un aspect enfantin. Ses traits, d’une fascinante beauté naturelle, révèlent d’ailleurs qu’Animor n’est qu’une fillette perdue, cherchant désespérément une place dans ce monde de sorcellerie occulte qu’elle connaît si peu… Ses yeux bleus pourtant, aussi souriants et amicaux qu’ils soient, sont empreints d’une détermination sans paire : l’étudiante, coute que coute, obtiendra tout ce qu’elle désire au cours des sept prochaines années. Comme d’habitude, elle porte sa vieille robe extrêmement démodée, un horrible vêtement utilisé il y a plus de 1000 ans! Et ses souliers! Des souliers des années 1960! 1960!! La préhistoire! Sa vie de rats, sans aucun doute, ne continuera certainement pas!
Caractère: Animor. Impolie, insolente, mal éduquée, rageuse, inopportune, indiscrète, insupportable, ambitieuse, menteuse, rebelle. Bref, méprisable. C’est ce que pense chaque habitant du village natal de fillette. Hormis sa grand-mère, tous veulent s’en débarrasser, l’exiler, la faire disparaître de la face de la Terre. Animor, elle, en est habituée depuis longtemps. Sa curiosité n’a jamais été acceptée et, malgré les efforts marqués de tous ceux qui la croisent pour la supprimer, c’est encore aujourd’hui le trait dominant de la jeune fille. A ses yeux, le monde est fait pour être arpenté. Les océans sont la pour être traversés, les montagnes pour être escaladées, les frontières pour être franchies. Ceci explique sa fascination pour Poudlard, facette inconnue du pays dont elle savait supposément absolument tout. Sa soif du savoir l’incite à s’intégrer au méconnu, a l’appréhender, a l’examiner, a apprendre à l’accepter. Par contre, Animor a hérité de son aïeule un défaut redoutable : la prétention. Séquelle de son enfance, elle est devenue autonome. Trop autonome. Seule, elle traverse chaque obstacle, chaque problème. Cependant, elle se croit parfois toute-puissante, et, lorsqu’elle est saisie d’une quelconque idée folle, personne ne peut l’arrêter. Ceci cause bien des ennuis, car, sans le vouloir, son attitude la pousse parfois un peu trop loin, et elle déchaine, souvent sans le vouloir, des suites d’événements inespérés aux conséquences désastreuses qui lui donnent la réputation d’une vermine détestable…

Histoire: Pour comprendre comment Animor est arrivée a la plateforme 9 et ¾ le 1 septembre, désorientée et confuse, il faut retourner 12 ans auparavant, alors qu’un cri déchira la nuit, éveillant la totalité des habitants de Little Hangleton. Tous accoururent vers la source du son horrifiant qui les avait tires en sursaut de leurs plus doux rêves et, au bout d’une petite allée sans sortie, ils trouvèrent une jeune fille, pleurant sans contrôle. Les crimes étaient assez inhabituels dans ce coin perdu de la Grande Bretagne (hormis le mystère du manoir des Jedusor, bien sur)et, puisque la malheureuse refusait de parler, personne ne comprit ce qui s’était passe jusqu’au jour ou celle-ci hurla à nouveau. Exactement neuf mois plus tard. C’est ainsi qu’Animor vit le jour, dans une petite maison sombre et suite à un accouchement brutal. Des lors, les villageois déplacèrent la haine qu’ils ressentaient envers celui qui avait ose violer une des leurs vers la petite fille car, bien sur, il fallait absolument blâmer quelqu’un pour cette terrible histoire. Cette haine s’intensifia lorsque la mère décida de partir afin de recommencer sa vie et que le bébé devint un lourd fardeau pour sa grand-mère, une vieille femme fort respectée. Ainsi passa le temps et Animor apprit à former une barrière entre elle et toute autre personne. Les enfants avaient appris à l’ignorer, les parents disaient qu’elle était une disgrâce pour le village et les plus âgés proclamaient qu’elle était une sorcière, puisqu’elle ne pleura jamais sur son sort, habituée depuis sa naissance. Dans des circonstances pareilles, la séparation était la seule façon de survivre. Seule sa grand-mère l’acceptait telle qu’elle était, même lorsqu’elle défiait l’autorité a quiconque pur arriver a ses fins, disant que sa situation ne pouvait guère s’empirer. Ce fut la seule qui versa des larmes lorsque la lettre de Poudlard arriva, signalant le départ de la fillette…

Mon arrivé à Poudlard ou premier jour de travail: Tuniques noires de l’école? Sur les autres vêtements. Livre de potions élémentaires? Sur les tuniques. Baguette magique? Sur le livre. Animor revérifia encore une fois le contenu de son coffre et le referma avec soin. Depuis déjà deux heures, elle se promenait toute seule dans la gare, cherchant sans succès la plateforme 9 et ¾. Elle commençait à se demander si sa grand-mère l’avait amenée à une mauvaise destination lorsqu’une jeune femme l’interpella et lui recommanda de la suivre. Elle était accompagnée d’un garçon blond et robuste, surement un des plus vieux élèves de l’école. Les trois s’approchèrent du mur qui séparait les plateformes 10 et 9 et, sans hésiter, le garçon courut et, en atteignant la surface en briques…il disparut! Animor se tourna vers la mère pour questionner cet exploit, mais déjà elle ne se trouvait plus la. Elle s’approcha donc du mur a son tour et y posa sa main, qui le traversa comme s’il ne s’agissait que d’air. Lentement, elle laissa son bras traverser cet obstacle inexistant, puis le reste de son corps, trainant ses possessions avec elle. Quand elle crut avoir traverse complètement, elle osa ouvrir ses yeux, et ce qu’elle découvrit l’étonna au plus haut point. Jamais elle n’avait vu autant d’enfants au même endroit! Ils courraient partout, montant et descendant d’un énorme train rouge sans aucun souci. De plus, il y avait les vetements! Des longues tuniques de toutes les couleurs imaginables et des combinaisons folles de vetements quotidiens qui lui indiquèrent sans aucun doute qu’elle se trouvait au bon endroit. Elle monta au train rouge et trouva un compartiment désert. Elle s’y assit et attendit anxieusement le départ. Des que le train se mit en mouvement, la fillette se leva et, durant le reste du voyage, l’explora minutieusement, du compartiment des préfets jusqu’au dernier wagon, ou des étudiants s’amusaient à faire flotter dans les airs un énorme crapaud violace. Néanmoins, comme d’habitude, elle n’adressa la parole à personne, et répondit froidement aux mots de bienvenue de quelques élèves, puisque, sans aucun doute, ils ne voulaient que se moquer d’elle. Quand ils arrivèrent à Hogsmeade, on indiqua aux plus jeunes, comme elle, qu’ils devaient traverser un lac en canot pour se rendre au château. Elle suivit les autres, toujours sans parler. La traversée fut horrible. Sans aucune expérience, Animor et les trois autres filles assises avec elle réussirent tant bien que mal à suivre le groupe. Heureusement, les filles étaient trop timides-ou trop terrifiées-pour parler. Animor ne s’émerveilla guère en voyant Poudlard, tant la fatigue pesait sur elle. En ligne droite, derrière un garçon qui tremblait sans arrêt, elle se dirigea avec les autres vers le Grand Salon, prête pour être classée…

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