Dradra Jedusor, riche sorcière d'une haute lignée, avait passé la nuit dans une prison sombre et humide, sans oublié le plafond trop bas. Elle était très loin du gros luxe de son manoir, mais c'était tout de même mieux que la prison d'Azkaban, des frissons lui traversèrent le corps quand elle se rappela son séjour dans cet horrible endroit, au moins il avait porté ses fruits. Elle ne dormit pas de la nuit, elle pensa à ses arguments, elle devait mentir sans cacher certaines choses pour qu'on croit son innocence. Avouer pour être mieux repentit. C'est ce qu'elle souhaitait, car elle savait qu'on trouverait louche certains éléments si on les niait. Malgré le peu de preuves contre elle, elle savait que l'accumulation de doutes contre elle devait être pris en considération. Elle soupira, puis se dit qu'elle serait mieux d'essayer de dormir. Plouc. Plouc. Plouc. Une goutte d'eau qui tombait sans cesse dans sa cellule. Soit A, il mouillait dehors; Soit B, ils essayaient de rendre leur prisonnier fou. Elle opta pour la deuxième option. C'était son idée de venir passer la nuit en prison, alors elle avait à vivre avec. Elle finit par s'endormir en comptant les gouttes d'eau, elle eut le temps d'en compter cinq milles huit cents vingt-neuf avant de réussir à trouver sommeil. Le lendemain elle se fit réveiller très tôt, beaucoup trop tôt, pour son déjeuner, elle eut treize heures d'attente avant d'aller à son tribunal, treize heures prisonnière d'une pièce qui n'était même pas assez grande pour y insérer son lit. Elle avait eu tout le loisir de réfléchir, au moins, cette fois, il était clair qu'elle voulait conserver la garde de Léa, elle y tenait plus qu'elle ne voudrait l'avouer. Elle ne savait pas comment avouer qu'elle était celle qui l'avait kidnappé, juste à ses mots, elle se disait qu'elle méritait d'être enfermé. On vint la chercher cinq minutes avant son jugement, c'est là que tout allait se passer, soit elle se faisait enfermer pour de bon ou bien elle retrouvait sa liberté d'avant.

Dans sa cellule, deux détraqueurs vinrent la chercher, elle sentit aussitôt un froid l'envahir, pas encore, elle ne voulait pas le revivre, non, non, NON. Sa respiration devint plus saccadé, mais elle avança tout de même, avec difficulté jusqu'à la salle de procès. Lentement les portes de la salle s'ouvrirent, elle suivit docilement les détraqueurs jusqu'à son siège sous les hués des gens en colère et les flash agressant des journalistes. Elle avait l'impression d'être un animal de laboratoire qu'on passait sous microscope, sauf qu'elle était toujours bien vivante, tout dans cette salle était surréaliste et bien trop ironique si tout finissait comme elle l'entendait. Elle s'installa sur son siège et laissa les chaînes se glisser sur elle, sans aucune douceur, sans aucune pitié. Elle se disait que si elle tentait de se débattre elle se resserrerai davantage et elle les chantait déjà trop près de sa chair. Elle commença même à douter de son propre plan, elle, Dradra Jedusor, chef des mangemorts, doutait de la réussite de son plan. Elle commençait à voir les failles de son plan, elle allait marcher sur des oeufs, elle ignorait qui viendrait parler à sa défense... qui parlerait contre elle... Les détraqueurs s'éloignèrent, lui permettant de respirer à nouveau, les insultes cessèrent, même les journalistes semblèrent se calmer quand le chef du magenmagot demanda le silence. Enfin, un moment paisible... qui ne dura pas. Elle se fit harceler de questions, les unes après les autres. Elle voyait sur leur visage que pour eux elle était sans contredit coupable. Elle ne devait pas échouer, elle devait réussir pour Léa, cette petite méritait d'avoir une mère qui pouvait être présente et non une vieille folle qui était enfermé en prison, car elle savait qu'elle serait incapable de survivre à un autre séjour à Azkaban, c'était trop horrible, trop inhumain, c'était la plus cruelle des tortures. Elle sentait les regards qui scrutaient la moindre de ses réactions qui allaient écouter le moindre de ses mots.

-Je n'ai tuée personne, personne ne la croyait, elle eut l'impression qu'un grand froid passa dans la salle à cette affirmation, je suis venu ici de mon propre gré pour pouvoir récupérer ma liberté comme citoyenne. Pour ce qui est de L... elle avait passé bien près de dire son prénom, mais à la dernière seconde, elle se dit qu'il serait plus prudent de ne pas dire qui elle était, pas pour le moment. l'enfant, c'est moi qui l'ai prise, un murmure traversa toute l'assemblée, les gens étaient offusqués qu'on puisse kidnappé un bébé, sa mère m'avait faîtes promettre de m'occuper de son enfant s'il devait lui arriver quoi que se soit, c'est la seule chose qu'elle m'ait jamais demandé, je ne pouvais pas lui refuser, ce qui était absolument vrai, au début son dessein n'était pas en raison de sa grandeur d'âme, très loin de là, mais les choses avaient tout de même changé depuis, un peu du moins. Pour le moment elle est... à Poudlard, elle souffla les derniers mots, elle avait oublié qu'il était impossible qu'elle soit à Poudlard, elle était, en théorie, trop jeune, les questions fusèrent, elle ferma les yeux pour rassembler ses esprits et elle reprit. Je voulais qu'elle puisse avoir une mère présente, mais quand je me suis décidé à venir, je ne voulais pas qu'elle ai à passer à travers cette épreuve et je n'avais personne qui pouvais la garder, mis à part mon elfe de maison, je l'ai donc fait vieillir pour qu'elle puisse être à Poudlard, avoir un toit, une éducation, de quoi manger et être loin de ce procès. Elle cessa de parler, elle trouvait difficile de mentionner Léa ainsi, elle aurait préféré qu'elle ne soit pas mêlé à tout cela. Elle savait aussi que le fait de l'avoir vieillit de plusieurs années allaient soulevés des questions d'étique, mais il était trop tard, tout avait été dit. Elle préféra changer de sujets et répondit aux autres questions qui avaient été posés. Quand on est à Azkaban, on finit par perdre tout espoir, elle déglutit, elle n'avait jamais parlé de son séjour à qui que se soit, c'était ses pires souvenirs. alors, quand j'ai vu les gardes approché, quand leurs patronus passés près de ma cellule, j'ai eu une lueur d'espoir que je croyais disparut à jamais, j'ai eu assez de forces pour m'échapper à ce moment-là, mieux vallait éviter de mentionner qu'Edward l'avait aidé sur ce coup-là, car tant et aussi longtemps qu'il était sous son pouvoir, il devait garder toute son influence sur le monde magique. Je suis effectivement une descendant du Lord Voldemort, mais doit-on être jugé selon les actions de nos ancêtres?

Gregory fut nommé, encore lui, à croire qu'il continuait de la hantée même dans la mort. Elle se tut, elle n'avait pas à parler de mort qu'elle n'avait pas fait, ou peut-être, elle n'arrivait pas à se rappeler qui elle avait tué, qui elle avait fait souffrir, qui était avec elle. Elle se demandait même parfois si elle arrivait à distinguer le bien du mal, tout était si flou dans son esprit. Elle écoutait les plumes qui grattaient sur le parchemin, mais dans la salle régnait un silence de tombe.

[ Bon je laisse des endroits vides où je fais comme si tu avais répondu.. C'est dur d'écrire un interrogatoire de cette façon là --'' ]



On n'entendait plus que le grattement des plumes du greffier et des journalistes, retranscrivant avec frénésie tout ce que l'accusée venait de dire. Les journalistes commentaient particulièrement sur leur calpin les réactions contradictoires de la foule lorsqu'elle parla de son enfant 'hérité', cela provoquerait vraisemblablement un débat croustillant dans les médias le lendemain, enfin, si la fin du procès n'occupait pas l'attention générale. Dès que le greffier assit à ses côtés eut terminé la retranscription, un membre du Magenmagot se pencha sinistrement vers Dradra Jedusor, ses mains agrippées telles des serres à son bureau, sourcils froncés. Contrairement aux autres membres du conseil, elle paraissait plus assurée et maligne. Avec un petit sourire étrange, elle dit d'un ton doucereux ;



-Hmm.. Intéressant. Dans votre déclaration toutefois, vous avez curieusement omis de nous parler un peu des meurtres... Selon vous, pourquoi vous soupçonne-t-on fortement d'en être à l'origine ? Hmm... ? Ah, et s'ils ne sont pas morts.. Où diable tous ces enfants sont-ils passés exactement ? Tout cela s'est passé pendant que vous étiez en fonction Jedusor Dradra.. Vous en êtes donc coupable d'une manière ou d'une autre...



Elle prit une petite pause, le temps de se passer une main dans ses cheveux blanc bouclés.



-Vous savez Jedusor, vous devez être sacrément tordue pour avoir manigancée tout ces meurtres.. Malgré tout, il faut vous reconnaître une certaine intelligence pour avoir passé ça sous le nez de nos meilleurs aurors, dont on pourrait citer le directeur actuel de Poudlard, qui je crois est présent dans la salle, peut-être pourra-t-il témoigner tout à l’heure... Mais bien sûr, le coupable n'est peut-être pas vous… Auriez-vous des hypothèses sur l'identité d'un peu probable autre coupable que votre personne ? Je ne peux croire que vous n'ayez rien vu, ni entendu ni remarqué quoi que ce soit au cours de votre carrière... Ce serait vraiment de la malchance...



La sorcière laissa échapper un petit rire, et la foule la suivit quelque peu, quelques rires fusèrent, éparses. Elle reprit ensuite avec une sorte d'irritation; crachant ainsi ;



-Allez ! Des explications, Jedusor ? Hmm.. ?

Les autres membres du Magenmagot restèrent tous muets, et la foule se rendit bien compte que cette femme était en fait le véritable chef du conseil. Effectivement le chef lui même ne fit quoi que ce soit pour prendre la parole, muet comme tous les autres tandis qu'elle continuait son interroatoire, froid et impeccable, comme l'atmosphère qu'elle dégageait. Pendant que Dradra s’expliquait, celle-ci conserva son petit sourire froid et énigmatique, comme si tout se passait comme prévu pour cette dame. Après que Dradra eut finit de s’exprimer, elle ajouta aussitôt d’un ton menaçant ;



-La disparition de votre ennemi Gregory McKrick est aussi un élément ma foi fort suspicieux à prendre en considération. Où est-il donc passé Jedusor ? Et qui sait ? Peut-être que tout comme lui, ces morts s’étaient dressés en travers de votre chemin ? Hmm.. ? Avez-vous du mal à vous contrôler ou je ne sais quoi ? Qu’en pensez-vous ?

Elle sourit de nouveau à l’accusée, écouta patiemment sa réponse en approuvant curieusement en hochant la tête, soj regard de carnassier plongé dans celui de Dradra Jedusor, puis enchaîna en ajoutant d’un ton doucereux et sûre d’elle-même.

-Ah et au sujet de votre évasion.. Je ne vois pas pourquoi vous avez fait cela… Vous auriez eu un procès pareil à celui-ci… À moins que vous ne vous saviez coupable Jedusor ? Que vous saviez que vous perdrez votre cause ? Mais comme vous étiez traquée, vous avez probablement mijotée un plan pour recouvrir votre vraie liberté, car même hors d’Azkaban vous étiez comme en prison n’est-ce pas ? Hmm..?

Elle se tut alors, satisfaite, tandis que la foule tendait une fois de plus l’oreille pour entendre ce qu’allait dire l’accusée au sujet des conclusions de son interrogatrice.

Dradra passa les yeux pour se concentrer davantage sur les bruits qui parcouraient la salle ou plutôt le silence qui était trahis par les journalistes. Son incessant des plumes qui grattent sur le parchemin. Cette musique sonore eut à peine le temps de se terminer qu'un membre du mangemagot qui semblait avoir de l'assurance, beaucoup trop, elle voyait sa détermination, elle voulait que Dradra déclare coupable, elle voulait la faire parler. Les yeux émeraude de l'accusé ne la lâcha pas des yeux, l'observa tout en l'écoutant avec attention. Ce sourire ne lui disait rien qui vaille, l'emprise qu'elle avait sur les autres membres du mangemagot. Elle réalisa que c'était une personne comme elle, qui voulait toujours avoir ce qu'elle voulait et qu'elle l'avait. Elle aimait le pouvoir, avoir le dessus sur tous les autres. Elle sera la plus difficile à convaincre, elle allait être la dernière à être convaincu de son innocence, si elle l'était un jour. La sorcière se mit à rire à la fin de son interrogatoire. Si elle croyait l'avoir aussi facilement, elle se trompait. Elle voulait jouer les plus maligne, le jeu se jouait à deux. Elle voulait des explications, elle lui dirait ce qu'elle savait... si elle était innocente.

-Je n'ai pas parlé des meurtres, car je ne sais rien, remarque qui amena des murmures qui traversèrent rapidement la salle, je crois savoir pourquoi les gens croient que je suis coupable, j'étais la professeur à l'oeil rouge, celle qui parlait le fourchelang, la dernière descendante de celui qui a fait le plus grand carnage dans le monde magique et on me voyait rarement en-dehors de ma salle de classe, personne ne savait ce que je faisais. Elle prit une petite pause, elle embarquait sur un terrain dangereux, mais c'était le seul moyen, car si elle évitait le sujet, elle savait que les choses pourraient être bien pire. Je crois que nous, les maîtres en potion, nous sommes tous les mêmes, nous préférons nous enfermer dans notre salle et concocter des potions sous un chaudron bouillant à longueur de journée.

Elle ne lâcha pas le regard de la sorcière, elle voulait se rappeler son visage. Elle sera sa première victime pour tester sa nouvelle potion. Elle savait qu'elle ne pourrait la tuer dans l'immédiat qu'elle allait devoir attendre que la poussière tombe, mais elle allait se débarrasser de cette dame, elle l'énervait avec son petit air supérieur. Dradra recommençait à retrouver ses moyens, son assurance d'antan, par la colère qui lui montait tranquillement, mais elle resta calme en apparence, même qu'elle s'arrangeait pour avoir l'air un peu faible.

-Je ne pourrai faire d'hypothèse sur qui est peut-être le tueur, pour ce que j'en sais, tous les professeurs de cette école souhaite que les élèves soient sécurité, comme je vous l'ai déjà dit, je me mêlais peu au groupe, j'ignorais ce qui se passait dans l'école, de plus, à ce que j'ai lu dans les journaux, les disparitions des élèves ont continués quand j'étais Azkaban, comment j'aurais pu faire une telle chose pendant que j'étais détruits? Et qui voudrait souhaiter une telle chose? Ce ne sont que des enfants... Je ne suis resté qu'une année à Poudlard, je n'avais même pas eu le temps de parler à tous les professeur de l'école.

Quelque chose lui disait qu'elle avait trop parlé, avec cette sorcière, elle allait déformer ses paroles pour qu'elle puisse encore lui dire qu'elle était coupable. Son sourire, son air, tout inspiré la haine chez cette femme qui poursuivit son interrogatoire sous l'impuissance des autres membres du conseil. Gregory... encore, à croire que cette femme avait été son amante, elle avait une véritable obsession envers lui, qu'est-ce qu'il avait bien pu dire, comment se fait-il que elle, chef des mangemorts, ai pu lui faire confiance suffisamment pour lui déposer sa marque chérie, elle devait se calmer, sinon elle savait qu'on entendrait la rage dans sa voix. Sans lâcher le regard de cette dame qui devait avoir payer en nature pour avoir des informations sur elle, pour se satisfaire et pour satisfaire ce Gregory qui n'était qu'un frustré de la vie, qui croyait que l'amour pouvait tout sauver, comme c'était pitoyable. Elle prit une respiration et commença à répondre à ses nouvelles questions tranquillement.

-J'ignore ce que vous savez de la relation de Gregory et moi, tout ce que je peux vous dire c'est que nous avons enseigné ensemble pendant une année et il était obsédé par le sang. Le mien qui était celui de Tom Elvis Jedusor et le sien qui était le descendant de Godric Gryffondor. Il n'arrêtait pas d'en parler, ce qui, honnêtement agaçait. Ma famille a travaillé dur pendant des années pour avoir le respect de la communauté sorcière, alors se faire rappeler son ancêtre. Elle prit une pause, elle se rappela comme un doux souvenir et poursuivit. La seule fois que je l'ai revu par après, c'est quand il est venu me rendre visite à Azkaban. Elle s'arrêta, elle ne voulait pas parler de la prison, souvenir qui était encore trop frais dans son esprit. J'ignorais qu'il était disparu.

Elle baissa les yeux à nouveau, elle réalisa qu'ils en savaient plus qu'elle n'y avait pensé, mais comment osait-il dire qu'elle avait de la difficulté à se contrôler? Au contraire, c'était à cause qu'elle avait un trop grand contrôle sur elle-même que Gregory avait pu survivre aussi longtemps, dire autant d'information. Si elle le pouvait, elle le tuerait encore et encore, juste pour le plaisir de le voir souffrir à nouveau. Mort lente et douloureuse, la sienne avait été beaucoup trop douce. Si elle avait su qu'il lui attirerait des ennuis dans la mort, car il avait une trop grande bouche. Elle aurait dû lui couper la langue dès le moment qu'elle avait eu des doutes, dès le moment qu'elle avait su qu'il faisait partie d'une secte, dès le moment qu'elle avait sur qu'elle l'aimait. Un profond dégoût la traversa, elle ne devait plus y penser et se concentrer sur son procès, d'ailleurs plus il avançait, plus elle détestait cette femme, maintenant elle n'avait plus le choix, elle devait parler de la prison.

-Si je ne m'étais pas évader, je serais encore là, je n'aurais pas eu de procès, je suis resté là pendant des mois sans savoir ce qui allait arriver. Elle déglutit et demanda. Savez-vous ce que ça fait de passer des jours et des jours avec ce constant désespoir qui vous envahit qui pénètre votre âme, qui vous fait souffrir, toujours, incessant, qui vous tourmente... Elle ferma les yeux, ses souvenirs d'Azkaban lui tourmentaient l'esprit, les images qu'elle ne voulait plus jamais revoir. Quand je me suis échappé, je ne pensais pas à ma liberté, ni à ce qu'il allait arriver, je voulais me sauver de ce désespoir qui me détruisait, à ce moment là, il n'était même pas question d'avoir à me cacher ou de faire un procès, je voulais sentir une lueur de vie, je n'étais qu'un corps vide, je sentais que je perdais mon âme... Elle s'arrêta pour reprendre sa respiration qui avait recommencé à être saccader, tranquillement, elle reprenait sa respiration, doucement, avec délicatesse, puis ajouta. Je ne me sentais pas comme en prison, car je pouvais respirer, rien n'est plus horrible que ce que j'ai subit, que ce que tous les prisonniers subissent. Azkaban, c'est pire que la mort, car même quand on en sort, les tourments restent graver dans notre esprit.

Sa voix devenait de plus en plus faible à la fin de sa phrase pour n'être qu'un murmure à la toute fin. Elle avait l'impression que la sorcière tentait de la tuer à lui rappelant les pires moments de sa vie.