Nom: Cokukaine
Prénom: Katrina
Âge: 18 ans
Clan: Mangemort
Sexe: Féminin
Sang: Pur
Statut social: Pauvre, elle a plus rien.
Baguette: 25.7cm, érable, nerf de cœur de dragon et facile à manier
Cours: //
Moyenne des notes: E
Comment avez-vous connu le forum? Longtemps...
Personnalité sur l'avatar: Rihanna
Code: [ Je le sais ]
Autre(s): Deuxième présentation.
Votre personnage: Le bout de sa plume, pas encore tremper par l'encre, frappa le papier plusieurs fois. Elle ne savait pas par où commencer. C'est alors qu'une petite pensée apparut. Sûrement elle devrait commencer par l'histoire que sa mère lui racontait tout le temps. Elle n'était pas la plus belle, mais au moins elle comblera les pages vides. Décidé, elle trempa sa plume dans l'encre et écrit...
« Ma vieille mère m'avait toujours raconté qu'elle et son mari ont attendu 10 ans avant de m'avoir, voulant explorer leur relation avant d'avoir un poupon. Ils auraient dû attendre encore longtemps, car je n'avais grandi que dans les engueulades et bataille. Mon père est très... comment dire ? Colérique. Donc, quand il se frustrait, j'évitai d'être dans son chemin ou dans la même chambre que lui. Je me dis qu'une chance que je n'ai pas hérédité de ce "don". Cependant, ma mère avait toujours tenu à ce que je lis, lorsque j'étais jeune, des contes de fée après contes de fée. Je crois qu'elle ne voulait que faire développer mon imagination pour pouvoir me sauver des fois dans mon univers. Un acte que j'ai bien apprécié d'elle... Mais mon père m'avait jamais donné de belle souvenir. J'étais prise à les faire moi-même. Cependant, j'appris vite qu'en faisant des amis, je peux facilement retrouver un peu de bonheur. Depuis jeune, je me suis liée à une fille remarquable. On avait que 7 ans lorsqu'on c'est rencontré, mais rien n'avait changé depuis les années, à part pour nos corps et nos écoles. Tous les deux on est allé à Salem ensemble, s'amusant à rien faire pendant les heures de cours et à faire les folles lorsqu'on avait le temps. Elle était mon épaule quand j'étais triste et j'étais la sienne lorsqu'elle avait besoin de confort. »
Un peu plus, on pouvait dire qu'elles étaient inséparables, jusqu'à ce qu'un gars s'en mêle. Ayant tous les deux le même goût, elles avaient tendance à aimer les mêmes gars. C'est au moment que Katrina commença à sortir avec un homme de son âge, que sa meilleure amie devenue follement jalouse. Mais le problème était qu'elle n'avait jamais dit à Katrina qu'elle aimait ce gars, mais n'écoutant plus son coeur, Jahonnie avait décidé de se venger, même si elle savait que ce n'était pas la faute de la jeune femme. Sa résolution était de coucher avec le petit copain de son amie. Katrina, ayant su ce qu'elle avait fait s'éloigna vite d'elle, disant à tout le monde que c'était une vrai salope. Puis ce fut la guerre totale entre ses deux amis d'enfance.
« On s'insultait chaque fois qu'on se voyait, comme deux enfants qui voulaient le même bonbon. Je regrette aujourd'hui d'avoir agi comme ça, mais j'étais immature. Je me rappelle, lorsque j'étais tannée de tout ça, j'avais décidé de changer d'école à 16 ans. Ce fut un peu dure laisser en arrière tous les élèves que j'avais appris à aimer, mais il ne me restait plus rien à Salem, mais que des belles souvenirs lointaines. J'étais partie, triste et sans dire au revoir à la seule fille qui put me remettre à ma place. Et puis, quelques jours plus tard, je me retrouvais dans un train pour aller à Poudlard. Après quelques minutes tout seul dans mon cabinet, quelques filles que j'ignorais l'identité sont venues s'asseoir avec moi. On avait bavardé de tout et de rien jusqu'à ce qu'on soit arrivé. Lorsqu'on arriva enfin proche de l'école, on prit tout ensemble nos valises et on c'était dirigé en groupe vers le château. Il était beaucoup plus énorme que je le croyais. Et la magie était présente, même qu'on ne voyait pas ça à Salem. Étant nouvelle, comme tout le monde, personne ne se moquait de personne, car personne ne se connaissait. À part pour nous. Dès la rencontre dans le train on ne se lâchait pas. Même qu'on était dans la même chambre. La première nuit, on colla nos lits ensemble pour avoir moins peur des bruits dans l'école. Ils étaient nombreux. On apprit vite à bien connaître les gens alentour ne nous et même que le 3/4 des filles avaient trouvé un petit copain, ce qui laissait moi. J'avais décidé en rentrant de ne pas m'intégrer à ce point dans l'établissement et je me rappelle toujours de la dernière fois que j'avais eu un chum... Donc, je continuai ma sixième année en paix tout en asseyant de mon mieux d'avoir de bonne note. Alors que j'étais à ma dernière année, quelque chose de désastreux arriva... Je me suis faîte mordre. Il n'avait rien d'autre de pire. Même lorsque j'ai voulu me confier à quelqu'un, il a eu peur. Et puis... Il ne restait, à la fin, qu'une chose, me ranger du mauvais côté. Nathan m'avait prévenu, mais la tentation était plus forte. Tranquillement, je m'intègre dans ce groupe et je me sens mieux, beaucoup mieux... C'est comme, pour moi, un renouvellement de moi-même. Je n'ai plus peur de rien, même que j'aime ce que je suis devenue. Et personne ne peut me changer les idées maintenant. »
Déposant sur le lit, son journal intime, elle prit le temps d'inspirer une bouffé d'air avant de se lever tout en s'étirant le corps. Cela faisant quelques temps qu'elle était assise à écrire et ses muscles se plagiaient énormément. Elle aurait dû s'installer plus confortablement à la place de rester sur le bord. Son regard brun-vert se retourna sur sa chambre un peu trop médiocre. Les murs étaient décorés d'un gris foncé en pierre, où il en manquait dès fois. Puis, devant elle, il y avait un long miroir où elle pouvait facilement se voir. Puis son lit ressemblait bizarrement à ceux des vieux temps. Le support était d'un métal or avec, pardessus, un matelas au couverture blanche-jaune. Rien de vraiment fascinant. Tranquillement, elle se dirigea vers un coin de la chambre et y prit son manteau vert sombre. D'un simple coup de baguette, elle transplana loin de cette église et se retrouva sur un chemin de terre. Son regard brunâtre s'entassa dans la brume, observant chaque petit mouvement. Comme un animal qui chasse sa proie, elle figea cherchant celui qu'elle voulait. Puis, autant vite qu'une éclaire, elle saute sur une silhouette, les faisant chuter tous les deux, soulevant sur le passage de la terre et de la poussière. Après quelques roulades qui semblaient ne jamais finir, elle stabilisa sa proie, plaquant ces poignets sur le sol, s'assurant qu'il ne pouvait pas bouger. Elle avait faim, même plus. Elle se foutait un peu qui cette personne était, ce qu'elle voulait était son sang. Ce liquide rouge qui coulait dans ses artères et veines. La vampire en avait besoin pour survivre plus longtemps, elle tenait trop à son semblant de vie. Et puis, elle avait besoin de cette drogue pour pouvoir rester éternellement belle et séduisante.
[fini]