Nouvelle Époque
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 Une mort parmis tant d'autres...

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Dradra Jedusor

Parselmouth & Death Eaters' Owner
Dradra Jedusor

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Une mort parmis tant d'autres... Vide
MessageSujet: Une mort parmis tant d'autres...   Une mort parmis tant d'autres... Icon_minitime1Lun 8 Oct - 11:14

    Titre: Une mort parmi tant d'autres
    Auteur: Mandragora Rytuël
    Personnages principaux: Élenna Poessys & Mandragora Rytüel
    Époque: Regardez les personnages Rolling Eyes Après HP Rolling Eyes
    Cours résumé: Le titre dit tout...
    Autre: C'est une des nombreuse mort du forum, la fin a été modifié pour que ça fasse fic', âme sensible s'abstenir
    Statut: Terminé


Mandragora n’était pas très fière d’avoir tué une mangemorte, mais elle se disait qu’elle les avaient sûrement trahis, bien qu’elle n’eut comme preuve que la lettre de son maître entre ses mains. Elle avait remis la lettre à son maître, et lui avait expliqué les causes de sa mort. Le maître avait parut satisfaite de voir qu'une traîtresse avait été punie, et elle n'avaiut pas posée de questions bien précises. Une chance, la directrice des Poufsoufles n'aurait peut-être pas été en mesure de lui répondre. Les circonstances de la mort de Sahenia était si floues dans son esprit. Ce n'était par contre pas toujours ça. Soit elle ne s'en rappellait pas complêtement, soit elle se souvenait de ses actes jusqu'au moindre détail.

Ce jour-là, Mandragora était confortablement installée derrière son bureau pour écrire une lettre à un membre de la secte sataniste au sujet des récents meurtres et disparitions à Poudlard. Mandragora écrivit la lettre distraitement, perdue dans ses pensées. Elle décrit rapidement les meurtres qu'elle avait commis, et ceux qu'elle soupconnait son maître d'avoir fait. Les grattements incessants de sa plume durèrent encore pendant quelques minutes, puis Mandragora agita sa baguette devant la lettre pour sècher l'encre rouge-sang (fait avec le sang d'un chat noir) afin de ne pas perdre de temps à regarder l'encre secher. Dès que son sort cessa de faire effet, elle leva une deuxième fois sa baguette, pour crypter son texte magiquement. Elle n'eut pas le temps de lancer le sort, car une détonation retentit dans le couloir. Enragée, la voyante se dirigea à grand pas vers la porte de son bureau, en oubliant la lettre parfaitement lisible derrière elle. La directrice des Poufsoufles ouvrit la porte, et surgit dans le couloir mais, elle oublia de la refermer. Mandragora courut presque dans le corridor pour trouver l'origine du bruit. Il s'agissait d'une vulgaire potion explosive qui par un étrange hasard, s'était retrouvée dans le couloir pour exploser plus loin. Mandragora colla un mois de retenue à l'auteur de la mauvaise blague, puis revint dans son bureau. Aussitôt, elle eut un très mauvais pressentiment, avant même d'avoir pu traverser le seuil du bureau. La voyante prit une grande respiration, ayant déjà un vague pressentiment de ce qui allait se produire. Elle avanca très lentement dans la pièce silencieuse et obscure, mais avant d'avoir pu faire quoi que ce soit, elle pointa sa baguette sur la porte qui se referma dans un grand claquement. Elle s'approcha silencieusement vers le bureau, et c'est alors que ses soupçons furent confirmés. La lettre se trouvait-au moins- à 30 centimètres d’où la voyante l'avait posé avant d'être interrompue. Un léger sourire aux lèvres, elle se dirigea, sans savoir pourquoi, vers le placard de la pièce. Elle prit son temps, pour faire durer la terreur de se qui devait se trouver à l’intérieur, c’est à dire un futur mort. Lentement, très lentement, elle posa sa main sur la poignée en argent du placard et la tourna encore plus lentement. La directrice des Poufsoufles ouvrit la porte toute grande, et aperçue alors le presque fantôme. Recroquvillée dans un coin, une étudiante pleurait de terreur. Elle devait bien savoir ce qui l'attendait, car dès que Mandragora ouvrit la porte, elle poussa un cri que ressemblait étrangement au cri du cochon qu'on égorge. Doucement, très doucement pour faire durer l'agonie, Mandragora se pencha vers elle et lui souffla à l'oreille :

-Sais-tu ce qui t'attend ?

L'étudiante n'eut pas le temps de répondre, car Mandragora plaqua vivement sa main sur sa gorge et serra lentement tout en levant le bras, pour forcer la fille à se taire et à se lever. Debout avec la jeune fille, Mandragora lui sourit sadiquement, et dessera son étreinte. La fille se débatit mais la voyante n’y prêta nulle attention. La fille bondit à travers le bureau de Mandragora et se jeta litérallement sur la porte pour tenter de l'ouvrir, sans succès. Pendant qu'elle grattait furieusement le bois avec ses ongles, Mandragora glissa vers son bureau et ouvrit un tiroir contenant une panoplie d'accessoires macabres. Elle saisit un couteau particulièrement aiguisé et long, et le jeta sur la fille. L'arme attaignit son but, elle se figea dans la chair de la jambe gauche de l'étudiante. En plus de transpercer la chair tendre de la fille, le métal se figea dans la porte. Hurlant de douleur et tachant le plancher de son sang, l'étudiante asséna la porte de coups de poigts, mais s'était de trop, elle allait mourir. Toujours avec le couteau, Mandragora s'approcha de la la jeune fille. Celle-ci cessa subitement de crier, comme le chien que Mandragora avait démembré pendant sa chère jeunesse... Les yeux de l'étudiante montrait exactement la terreur pure, chose que Mandragora n'avait jamais ressentit. Brusquement, et avec un certain style, la voyante retourna la fille dont le ventre était contre la porte. Elle fit le geste si rapidement que la jambe se déchirra au niveau du genou mais la fille ne cria pas. Mandragora la plaqua sur le sol, de dos, et à l'aide du couteau, elle se rapprocha d'elle. Délicatement, Mandragora se pencha et le lui enfonca dans le ventre, pour une longue agonie assurée. Curieusement, la fille ne bougea pas, peut-être était-ce en raison des fils de barbelés que la voyante venait de faire attacher autour de ses jambes et de ses bras. Le reste de la vie de la fille fut un moment délectable pour la voyante. Un moment de souffrances absolues, où les vicères de l'étudiantes sortaient lentement de la plaie, et se répandaient sur son corps... Et où le sang de ses bras et de ses jambes se mêlaient à la fête... La métal froid et dur causa sa perte, l’entraînant à coup sûr dans une lente et attroce agonie. Le seul désir de l’étudiante était une mort rapide et sans douleur, tout le contraire de ce qu’elle ressentait présentement Dès que la jeune fille poussa son dernier gémissement, Mandragora eut une certaine moue, elle aurait aimé que cela dure plus longtemps...

Finalement, Mandragora placa le corps dans la gamelle de son corbeau, qui la dévora rapidement. Quant au moignon encore suspendu à la porte par le couteau, elle l'enleva et répara la porte de chêne, maintenant témointe de plusieurs meurtres, elle devrait en faire un objet maudit… La voyante saisie ensuite le moignon, et à l’aide d’un sort très compliqué, elle le fit momifier rapidement, pour ensuite le cacher dans son placard, à l’endroit exact où la jeune fille s’était caché. Par après, comme si de rien n’était, elle retourna à sa lettre, l’ensorcela, la remit à son corbeau. Le bec et le plumage taché de sang, il s’envola au loin, avec à sa patte la lettre où une jeune fille innocente avait malheureusement posé les yeux. Le lendemain, la disparition de la jeune fille fut déclarée. Une certaine Élenna Poessys.
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Une mort parmis tant d'autres...

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