Léa Jedusor Jackins
I do belive there is a reason why we are who we are...
 |  Sujet: Texte à Halia  Mar 9 Oct - 17:29 | |
| Se texte à été inspirer d'une image, celle à mille mot! --» https://i.servimg.com/u/f21/11/47/46/37/angelf10.jpgVoilà, ma vie est fini, il m'a laissé pour elle. La elle signifie une fille que j'ai détesté pour si longtemps, trop. Sa me plait pour une fois, personne se préoccuper de moi. Les autos passent en dessous de mes pieds et je suis invisible. Invisible pour se monde trop con pour réaliser mon existence. Non, je ne suis pas égoiste, mais je veux que pour une fois, qu'on ne me bascule pas dans les corridors de l'école, qu'on me laisse pas toute seule au moment pour travaillé en équipe. Et si j'existais pour eu, serais-je ici au même moment. Je suis sur que je serais entrain de niaser avec mes amis, mais j'en est pas. Ils sont tout parti avec lui. Je m'accroche sur le truc en metal, bizarrement, je me souvient plus de son nom quand il nous avait toujours piégier au moment où nous voulons tellement s'enfuir au primaire. Mes souvenirs d'enfances sont affreusement malheureux. Chaque fois j'ai voulu jouer avec ses espèces de garce, elles se retournèrent et disait que ma barbie n'était pas asser belle et il n'avait plus de place dans la manoir à poupée. Et donc, j'étais prit à jouer sur mon pupitre avec mes cahiers. Gentil, hein?
Et bien, je me suis encore enfuie dans mes pensés. Avec délicatesse, le vent si doux caresse mon visage et fait bouger mes cheveux, celles que j'étais oubliger de couper car on m'avait mit une gomme dedans. La même fille qui ma tout volé.
«MERDE!»
Que sa fait du bien de crier, crier au plein fond de ses poumons. Et si j'asseye encore, se me soulagerai peut-être. Et puis le manège recommence...
«VOUS ÊTES DES ESTIS D' IDIOTS. DES ESCLAVES À SE MONDE»
Et dans un simple murmure pour moi-même, je dis
«et moi, je suis libre comme l'eau qui coule sans destination, comme l'air qui virvolte pour nous donner froid...Que je me sens bien!»
Tranquillement, comme si je laissais le suspence envahir mon corps, mes muscles, mes pensées...Je ferme les yeux. Mais je les ouvre tout de suite car j'entend un grincement sur le sol. Des dixaines d'autos s'arrête et le monde sors de leurs voitures. Ils me regardent, tout! Sa me fait peur, je commence même à trembler. Puis, une main m'aggripe de d'arrière, entre les bareaux et ils me chuchotent.
«ne le fait pas, si vous plaît, je te donnerai tout, juste, ne le fait pas»
C'est lui! Celui qui à causer cette peine, qui à causer mes sanglots, le seule qui avait toujours prit la peine de m'écouter...Et celui que je déteste le plus. Je prendre une grande inspiration, oui, sa m'aidera à me calmer et avec une voix bizarrement melodieuse, je lui dis;
«Tu m'as déjà tout donné et tu l'as tout repris. Seule chose que je veux, c'est que tu laches ma main!» En plus, il le fait. «Aurrevoir» Mes derniers mots et je me laisse tomber. Je ferme mes yeux et me laisse déjà emporter vers le ciel...Quel belle sensation, aucun regret. |
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