Voilà l'introduction. Elle décrit l'histoire et le personnage principal. Si vous aimez ca, je posterai un autre petit bout.
Les six mondes
partie 1
Démons contre Elfes
Il existe six monde parallèles. Sur chaque monde, un peuple y vit et chacun est différent. Le premier de ces mondes s’appèle la Terre. C’est une planète magnifique où y vit des êtres humains tout à fait banals. Ils sont mortels et n’ont aucun pouvoir surnaturel. Cette planète constitue la génération la plus faible des six mondes. Le deuxième monde à été nommé Pluton par les humains. Elle est si petite qu’avec le temps, Pluton disparaît de plus en plus. Sur cette minuscule planète n’y vit plus personne depuis des siècles. La troisième est constitué que de feu. Elle abrite des êtres maléfiques et sans scrupules, ils sont appelez , démons. Ces êtres ne peuvent être tués que par des immortels, car eux aussi, en font partis. Ce peuple, avant, faisait partit des elfes. Ils sont toussent des elfes qui ont sois trahis leur peuple ou assassiné un des leurs. Même à cela, ils sont extrêmement forts. Sur le quatrième monde vit un peuple très évolué. Ce sont des êtres qui, à la base n’étaient que de simples humains. Se fut les premiers sur cette terre à développer la majorité de la capacité de leurs cerveaux. Après quelques générations, ils furent tannés des humains qui sans le vouloir, détruisaient leur monde. Ils décidèrent donc de partir pour un monde meilleur. Après qu’ils aient trouvés le monde parfait, des siècles passèrent. Durant ces siècles, leurs physiques changea, leurs oreilles devenirs plus longue, leurs corps plus élancer. Eux aussi, sont immortels. Avec le temps, ces humains sont devenus des Elfes, ses êtres que l’ont parle dans les comptes de fées. Leurs habiletés doubla, chacun pouvait parler à la nature et aux animaux. Dans ce monde, les femmes ont toussent un pouvoir spécial mais les hommes, ne peuvent que manier l’arc car eux n’en ont pas.
( Les deux autres peuples, je n’en parlerai pas dans la partie 1)
Tout commença à cause de deux humaines. Elles étaient à fois amies et voisines. Elles se tenaient toujours ensemble, du matin jusqu’au soir. Elles s’entendaient à merveille jusqu’au jour où Andréa entra au secondaire. Étant plus forte à l’école que Marie, elle avait réussi à passer alors que Marie, se retrouvait maintenant au pré-scolaire. Ce fut ce qui changea leurs amitiés, Marie se trouve de nouvelles amies et Andréa aussi. Lorsque Andréa voyait son ancienne amie dans les couloirs de l’école, elle avait beaucoup de difficulté à la reconnaître. Cette fille qui avant, était contre le maquillage, n’avait que cela sur le visage. Cette fille qui avant répugnait à l’idée de voir des pétasses, en était même devenue une. Voyant cela, Andréa en avait presque les larmes aux yeux. Elle venait tout juste de réalisé que parfois, lorsque nous pensons avoir trouver de bonnes personnes, celle-ci se transforment petit à petit, en de vrais monstres.
Un soir, Andréa se trouvant plus seule que jamais, s’effondra sur son lit. Le regard figé sur le plafond, elle pensait à toutes ces petites qui font d’une personne ce qu’il devient. Après y avoir pensée, elle réalisa alors que rien n’était aussi facile. Rien ne se comparait aux livres qu’elle lisait. Dans ces livres, ils y avaient des elfes, des fées, des anges. Toutes sorte de créatures magnifiques. Des créatures qui la plupart du temps, ne meurent qu’à la fin,.après qu’ils aient sauvés leur monde. Ces livres, elle aimerait y disparaître. Vivre ces histoires elle même, être immortel, pouvoir combattre et savoir que la vie d’un peuple ne repose que sur elle. Ce soir là, elle réalisa alors que dans les livres, la fin de l’histoire de changeait jamais. Une fois que le livre est publié, l’histoire de seras pourras pas être modifier, la mort, la naissance, toutes ces choses, elles sont écrites, fixés dans le temps. Elle réalisa alors que dans son monde à elle, la fin n’était jamais écrite. Elle pourrait s’endormir et poussé son dernier souffle, sans même avoir douté une seconde que sa vie s’arrêterais ainsi. Dans les livres, il était possible de tourner les pages pour aller voir plus loin dans l’histoire, dans son monde, c’était impossible.