Chris de Roran

Nom: de Roran

Prénom: Chris

Âge:20 ans

Clan: Aucun de spécifié

Sexe: Masculin

Sang: Considérez moi comme sang pur

Statut social: J’ai renoncé à tout héritage, mais j’ai de quoi être à l’aise.

Baguette: 28 centimètres, fait de bois de saule cogneur, plume d’hyppogriffe, assez rigide

Cours: Je suis le professeur d’étude des runes

Moyenne des notes: Mon éducation n’a pas grand faille. Ma moyenne de cours à l’époque était de Optimal. Les seuls cours qui me faisaient faiblesse était divination et histoire.

Signe particulier: Je suis un très bon occlumen depuis ma naissance, mais ce don ne m’a pas vraiment apporté depuis se jour. Ici, par contre, j’aurai sans doute à m’en servir si mon avenir se dessine comme je le pense. Pour compléter ce don, il faudrait que je tente d’apprendre la legillimencie.

Aspect physique: Je ne vois pas l’importance à s’arrêter au physique de quelqu’un, néanmoins je vais quand même me décrire. J’ai les yeux bleu clair et mes pupilles ont l’étrange tendance à grossir et se réduire rapidement. Je possède des lèvres très pâles. Mes cheveux, quant à eux sont intraitables. Ils poussent sans cesse dans un désordre absolu et je dois les couper souvent afin de garder une coupe de cheveux respectable. Mon visage peut vous paraître froid ou sans émotion, mais mon sourire à tôt fait de détruire vos impressions, lorsqu’il est là évidemment. Ma peau est un peu cuivrée sans toutefois devenir trop foncé. Je suis assez imposant et ma grandeur est légèrement supérieure à la moyenne.

Caractère: Mon caractère, il est évident que j’ai tendance à en vouloir aux autres. Mais j’ai mes raisons. Aujourd’hui, je n’accord pas facilement ma confiance à autrui. Néanmoins, si vous avez ma confiance, je resterai loyal, mais qui profite de l’innocence de l’autre et s’avantage sur son dos ne mérite pas son amitié. J’ai du caractère et je n’ai certainement pas peur de m’affirmer et de défendre mes opinions. Vu mes expériences de vie, j’accorde beaucoup d’importance à l’éducation des jeunes autant sur le plan de cours que sur le plan moral. J’essaie le moins possible d’avoir des préjugés sur le monde tout comme je tente de faire une approche en douceur auprès des jeunes tout en leur donnant la possibilité de me voir comme un ami et non juste comme un professeur. Je suis plus dur et ferme envers les adultes car ils se doivent d’être un modèle. Je deviens facilement rageur lorsqu’il s’agit d’injustices. Le mensonge m’est familier et je sais le manier, même si je n’aime pas cela. Ce n’est pas compliqué, j’en veux au monde, surtout aux adultes. Je considère les étudiants en développement et malheureusement, ils peuvent être influencés par les adultes. Je compte néanmoins sur leur force de caractère pour analyser les informations qu’ils reçoivent autant par les autres que par moi. J’ai beaucoup de potentiel par tout le temps que j’ai consacré à l’apprentissage et la découverte. J’aime apprendre et je suis curieux. Je suis très pointilleux et lorsque je suis décider à faire quelque chose, je le fais jusqu’au bout. Lorsque je me sens attaqué, il m’arrive d’être violent verbalement. Si je retrouve face à une situation où un combat est nécessaire, je n’aurai pas peur de me défendre. Je ne suis pas naïf, je semble détester la vie et pourtant, j’aspire à un monde meilleur.

Histoire: L’histoire de Chris de Roran, mon histoire, commence bien avant ma naissance. Les Roran son tout d’abord une des plus nobles et prestigieuses familles de sorciers qui exsitent depuis des générations. Rapidement, l’imposante empire des Roran, car c’était exactement cela, a conquis au fil des années de vastes territoires et a siégé dans le monde entier. Leur emblème? Un dragon de feu et un serpent de mer. À mes yeux, il démontre la force et la sournoiserie que les Roran sont capable pour atteindre leurs buts. Ayant de la famille et des amis puissants un peu partout, il était dangereux de s’attaquer à l’un d’entre eux. Ils étaient en position de pouvoirs face à l’ennemi et rare sont les batailles qu’ils n’ont pas gagnés. Ce qui faisait leurs forces, c’étaient leurs nombres, leurs rapprochements malgré la distance et leur savoir.

Ça, c’étaient les Roran, mes ancêtres, il y a des générations de cela. Ils sont toujours aussi nobles, mais disons que les choses se sont dégradées durant les dernières générations. Je connais très bien l’histoire navrante des Roran. C’est que voyez-vous, je suis fier d’être l’un des leurs, mais je le serais encore plus s’il ne fallait pas que j’aille un lien avec ses… Disons que j’aurais été plus heureux d’être né dans une autre des lignées de cette si «prestigieuse» famille et d’avoir eu de vrais parents...

Les trois dernières générations, ont finis de saboter… de couper les ponts entre eux. Je pourrais vous raconter l’histoire des Roran en partant de loin, mais à quoi bon, j’ai moi-même dû apprendre l’histoire de cette lignée, je ne vais pas vous ennuyer avec cela. De toute façon, mes parents et grands-parents suffisent à montrer comme ils peuvent parfois être naïf et tout sauf solidaires.

Mon grand-père, mon si cher grand-père paternel du nom de Kincey, possédait, avec ses 2 frères et sa sœur, une richesse familiale qui atteignait des sommets après la mort de leurs parents. Son frère aîné avait un don pour l’hypocrisie et eu tôt fait de quitter le nid familiale qu’il devait, contre son gré, prendre soin. Il arrangea rapidement le mariage de sa jeune sœur, la benjamine de la famille, et décida qu’il était temps à mon grand-père et son frère de vivre seul leur vie, qu’ils étaient assez vieux. Kincey resta auprès de son jeune frère quelques années supplémentaires pour qu’il puisse prendre son envol comme il se doit. Ensembles, ils quittèrent l’Autriche pour se rendre en Angleterre alors qu’ils avaient respectivement 19 et 17 ans. Déjà à ce moment là, mes ancêtres perdaient de leur pouvoir en se dispersant de la sorte et en rompant les liens, les traités qui les unissaient, laissant derrière eux des dommages que eux seuls auraient pu réparer. Cela est d’ailleurs l’une des dernières preuves de la charité de mon grand-père, selon mon point de vue, il en va de soi.

Kincey maria une douce demoiselle au cœur d’or d’une beauté à couper le souffle et que bien de jeunes gens enviaient, ma grand-mère. Celle-ci était une sorcière aux dons remarquables. Ensemble, ils eurent un seul enfant qu’ils nommèrent Rayson, mon père.

Seulement quelques années après la naissance de Rayson, ma grand-mère fut atteinte d’une maladie qui lui fut mortelle et emporta le peu d’humanité qu’avait mon grand-père. Il se peut que je semble dénigrer mes ancêtres, mais comme il n’y a que moi pour vous raconter leurs histoires, il faudra suivre avec MON point de vue. Je disais donc que, depuis la mort de ma grand-mère que je n’ai jamais connu, Kincey fut un père sans grande chaleur humaine. Il ne sembla pas être en mesure de comblé le vide que laissa la perte de ma grand-mère à mon père.

Ah, Rayson… Mon père? Oui, mon père. N’ayant que très peu de soutien par son propre père, il apprit vite à se débrouiller seul… Et a obtenir se qu’il voulait sans avoir peur de tasser les autres. Déjà à cette époque, il avait beaucoup d’ambition et, possédant la froideur de Kincey à l’égard des autres, ne se laissait jamais influencer dans ses choix, quelles qu’en soit les conséquences. Il n’accordait pas d’importance aux gens de sa famille, encore moins de son entourage immédiat. La seule personne qui réussi à le réveiller un peu fut Kimberley, une jeune femme aux pouvoirs de visions étonnants de trois ans plus jeune que lui. Vous avez sans doute deviné, elle est nul autre que celle qui m’a mis au monde, ma mère.

Pour Rayson et Kimberlay, se fut le coup de foudre qui les unissait. Mais mon père avait bien choisi sa cible; ma mère était de la famille Darian, une presque qu’aussi grande lignée qu’était les Roran.

Ainsi, vous allez peut-être pensé que grâce au Darian, nous reprîmes un peu de notre noblesse et de notre pouvoir. C’est vrai, mais pas assez pour signifier un retour aux sources de la gloire des Roran. Kimberlay avait deux frères et deux sœurs. Sa sœur de deux ans, son ainée, vit à l’étranger. Quand à ses deux frères, les plus vieux de la famille, elle garda un assez bon contact malgré la différence d’âge. Où ça se corse, c’est sa sœur benjamine du nom de Blanche. Kimberley entretenait de bonnes relations avec elle jusqu’au jour ou Blanche quitta la famille pour se marier avec un moldu sans le consentement de son père. Kimberlay et ses frères furent offusqués et les liens se brouillèrent entre Blanche et le reste de la famille. Moi, je trouve Blanche, pour le peu de temps que je la connue, fort sympathique.

Tout pour dire que bien avant ma naissance, ma famille allait déjà dans une mauvaise direction et l’avenir des Roran était peu prometteur. Lorsque je vînt au monde, mon père travaillait au ministère de la magie et ma mère était une voyante très reconnue. À se moment là, je respectais autant mon père que ma mère. Je passais d’avantage de temps avec Kimberlay qui elle, prenait le temps de s’occuper de moi. Quant à mon père, j’appris vite à me débrouiller sans lui.

Mon éducation fut très tôt mise en mains car, même s’ils ne sont plus se qu’ils étaient les Roran et les Darian restent deux familles très instruites. Ainsi, je passai plusieurs heures avec ma mère à m’instruire sur les mathématiques, la nature et bien d’autres sujets. Par contre, c’est avec mon père que j’étudiais l’histoire, enfin NOTRE histoire. Je connais des générations et des générations de Roran avec leurs différents traités, alliances, etc. À mes dix ans, mes parents m’envoyèrent à Durmstrang. J’avais déjà une bonne avance sur les autres élèves vu mon éducation. Ma mère était très fier de moi, malgré le fait que je ne partageais pas son don pour la divination. Elle m’ammena dans plusieurs de ses voyages, ce qui me permis d’apprendre plusieurs langues et mentalités différentes.

C’est peut-être à se moment là que je me devinai une passion pour les runes. Mais cela ne m’était pas d’une importance capitale vu mes différentes forces en potions, en sort, en botanique, etc. La seule matière que je détestais réellement était l’histoire. L’histoire, à quoi ça sert? À glorifier différents explois afin d’oublier les atrocités qu’on fait nos ancêtre?

Enfin, je vivais quand même aisément, malgré un inconfort familial qui débuta bien assez tôt. Malgré la gentillesse de ma mère, je ne fut pas dupe à savoir que sa bonté avait ses limites. Et mon père, inutile d’en parler.

Il y a eu plusieurs points qui m’ont amené à rompre le contact avec mes parents.

Premièrement, bien que plusieurs peuvent me qualifier comme enfant prodige pour mes connaissances, je n’ai jamais voulu suivre les traces de mon père qui insistait sur l’importance du ministère et comme je pouvais accroître mon influence en allant dans cette voie.

Deuxièmement, on ne peu pas dire que je fus un enfant calme. Mon adolescence fut très turbulente et je ne fis aucuns cadeaux à mes parents.
Puis, l’hypocrisie de mon père face au reste du monde et surtout à sa famille me rendit dingue. À peine, si je pus voir mes cousins, mes oncles, mes tantes… Peut-être que eux m’auraient d’avantage aimé… En fait, il m’arrivait souvent de m’enfuir de chez moi pendant les vacances scolaires pour me réfugier chez mon oncle Carlisle, le frère de ma mère. Mon père m’en tenait rigueur d’être si insolent, mais ma mère n'était pas rancunière, oubliant rapidement. Mes parents diront que c’est peut-être à cause de Carlisle et mes cousins que je suis parti si tôt.

Si je ne restais, ce n’était que pour deux raisons. La première étant que je n’étais pas encore majeur et la deuxième étant l’amour de ma mère. Néanmoins, notre relation eû plusieurs heurts. Peut-être qu’en vous expliquant les détails qui m’ont poussé à partir vous comprendrez pourquoi mes parents sont à mes yeux que des voleurs et des hypocrites qui n’en font qu’à leur tête sans se soucier des autres.

Vers l’âge de 7 ans, alors que j’étudiais la vie animale avec ma mère je parlais tout innocemment.

«Maman, les animaux peuvent-ils prédire l’avenir comme tu le fais? avais-je demandé, assis au bord de l'eau.

-Non Chris, ils n’ont pas ce pouvoir. Mais tout comme toi et ton père qui ne voient rien dans les boules de cristal, ils peuvent prédirent certains évènements par des indicateurs comme la naissance prochaine de leurs enfants. Ça, c’est ce qu’on appelle de la logique, répondit ma mère.

Je méditai un instant sur les paroles de ma mère tout en observant les poissons s’amuser dans l’eau.

-Donc, tu savais que j’allais venir au monde? Tu m’as toujours dit qu’au départ, tu ne voulais pas d’enfant. Avais-tu prédis ma naissance?

Je levai la tête pour regarder ma mère qui du coup semblait devenir plus soucieuse et irritable.

-Je n’ai jamais eu de visions concernant un enfant naissant dans mes bras, est-ce bien clair? Ne t’avise plus de me poser des questions à se sujet, dit alors ma mère froidement qui reprit vite son discours sur les animaux.»

Bien sûr, à ce moment, je ne comprenais pas le sens cachés des paroles de ma mère. Ce n’est que vers 16 ans que j’appris la vérité. Ma mère avait eu la vision d’une fille à l’avenir très sombre et aux tourments encore plus grand qu’apporterait sa venue. Je découvris, bien malgré mes parents que j’avais une sœur. Je n’arrivais pas à croire que toutes ses années passés à jouer seul dans le jardin qu’il aurait pu avoir quelqu’un à mes côtés. Ils l’avaient abandonnée! J’étais furieux et j’eû une franche discussion avec mes parents qui tourna vite en dispute.

C’était l’été. Je profitai donc de cela pour de nouveau m’enfuir de chez moi. J’arrivai chez Carlisle en pleine nuit et je réveillai toute la maison. J’étais furieux et je hurlai ma rage sur eux en déversant toute la colère et l’antipathie que j’avais accumulée contre mes parents. Mes pauvres cousins et mon oncle durent subirent ma rage. Essayant par tous les moyens de me calmer, Calisle m’incita à m’asseoir et à parler calmement. Écoutant mes propos, il me proposa une alternative qui eu tôt fait de me séduire. Mes trois cousins partaient demain matin au levé du soleil pour aller au Canada où ils allèrent rencontrés de la famille, parce que EUX n’étaient pas anti sociable comme mon père, et me proposa d’aller avec eux. J’acceptai et je tombai dans un sommeil réparateur.

Ainsi, je parti sans l’autorisation de mes parents dans ce pays qui m’était étranger, mais qui se retrouvant sur un autre continent, me permettait d’être tranquille pour un bon moment. De toute façon, je leur avais envoyé un message qui leur disait mon départ et Carlisle m’avait fait promettre de ne rester que le temps qui était alloué à mes cousins, soit trois semaines.

Là-bas, en plus de rencontrer des membres de ma famille et de devenir majeur à la suite de la fête donner en l’honneur de mes 17 ans, je fis la plus belle rencontre de ma vie. Dans une des fêtes qui nous ont été proposés en plus de l’hospitalité chaleureuse des Darian, je rencontrai l’oiseau qui chanterait à mon oreille jusqu'à la fin des temps, l’ange qui garderait jalousement mon cœur que je lui aurais confié. Comment pourrais-je la décrire avec sa peau douce comme un papillon qui prend son envol, son corps de déesse qui semble fragile comme une fleur s’éveillant au printemps, son odeur enivrante comme la rosée du matin, son visage lumineux comme les premiers rayons du soleil, sa perfection… Dès le premier instant, je tombai amoureux.

« Quelle est donc la manière que l’on vous appelle à défaut de connaître le vrai nom qui qualifie l’ange aux ailes d’or que vous êtes? chatoyais-je dans un français qui me semblait sans erreur.

-Je vous dirais bien le nom que l’on pourrait allouer à un ange tout droit tombé dans ce monde de cruauté de sauvagerie, mais moi-même je ne saurai dire comment on vous appelle, me répondit ma dulcinée de sa voix douce. Tout comme vous, je ne connais pas ce nom qui à mes yeux vous irait à merveille.

-Comme on ne sait ni l’un ni l’autre quel est ce nom, lui dis-je amusé, pouvez-vous seulement me dire celui que l’on vous attribue?

Je tendis mon bras pour l’inviter à danser et je soufflai à son oreille mon nom.

-Appelez-moi Chris.

-On me nomme Rosalie, répondit-elle tout en acceptant mon bras.»

Pendant les 420 heures qui me restaient à vivre sur ce continent, je consacrai tout mon temps à apprendre à connaître cette merveilleuse Rosalie.

De retour en Angleterre, j’étais d’une humeur remarquable et je retournai chez mes parents. Mes parents, eux, n’étaient pas aussi jovial. Étant trop occupé à admirer ma nouvelle raison de vivre, j’avais à peine donné de mes nouvelles à mes parents. Ils étaient furieux. J’essuyai leur colère pendant un moment. Mais dès le moment où ils me laissèrent parler, je ne passai pas par quatre chemins et j’entrepris de leur parler de l’ange tombé du ciel.

« Rosalie, la si douce Rosalie Bellere! Comment pourrais-je continuer ma vie sans elle?»

-Bellere? Fit ma mère rage.

-Oh, oui! Et je suis prêt à l’épouser à tout moment. Cette beauté divine à mes côtés, vous rendez-vous compte?

-Il ne se passera rien avec cette Rosalie, grogna mon père avec colère, il n’est plus question que tu t’approches d’elle Chris!

-Mais pourquoi donc? dis-je soudainement inquiet.

-Cette traitresse! En plus de s’être marié avec un moldu, elle aurait eu un enfant! marmonna ma mère, furieuse.

-Jamais tu ne dois lui parler Chris. C’est la fille de ta tante qui a mis la dignité des Darian aux poubelles en mariant un moldu.

-Et qu’est-ce que sa change s’il elle a du sang de moldu dans ses veine, hein? répondis-je avec colère.

-Ça change tout, tout, TOUT! Et en plus, c’est ta cousine! Tu ne vas quand même pas l’épouser!

-Et pourquoi pas! Si on veut des enfants, tient, on adoptera. On prendra un enfant dans un orphelinat qui s’est fait abandonné par des PARENTS INDIGNES COMME VOUS!»

Notre querelle a atteint un sommet jusqu’alors infranchis et eu de terrible répercussion. Étant majeur, j’ai quitté dès se jour la maison familiale. Ne voulant pas mettre d’avantage Carlisle dans le trouble, je me trouvai un petit appartement temporaire. J’en profitai pour écrire une longue lettre à ma belle en lui disant que déjà je me languissais d’elle. Ma lettre jamais ne fut lu par celle que j’aimais car à l’arrivé de ma lettre, la vie avais déjà quitté le corps de ma rose. Rosalie s’était suicidée.

Je n’ai aucune idée comment ils ont fait. Je n’ai jamais su comment ils pouvaient être aussi sans cœur. Je ne comprendrai jamais le pourquoi, jamais. Mes parents avait contacté Rosalie et détruisit tout espoir de me revoir. N’ayant jamais réellement aimé la vie, ce qui expliquerait la première phrase qu’elle m’a dite : Je vous dirais bien le nom que l’on pourrait allouer à un ange tout droit tombé dans ce monde de cruauté de sauvagerie..., et ne voyant pas sa vie seule, sans chance de me revoir, elle a décidé de mettre fin à ses jours. Cela me tua.

Éprouvant une souffrance qui me consumait peu à peu, je tournai longtemps en rond, ce qui ne m’aida guère vu que ma rage envers mes parents s’intensifia. Ils étaient responsables de la mort de Rosalie. C’était aussi pire que si ils l’auraient assassiné en mains propres. Me reprenant en mains, je décidai de voyager… En commençant par visiter Blanche, la mère de Rosalie. Puis, je fis la visite de plusieurs pays, voyant la souffrance, la méchanceté, la cruauté de ce monde et je compris parfaitement la douleur qu’eut éprouvé Rosalie. Je m’arrêtai d’avantage dans les pays ou les runes étaient plus importantes, découvrant une de mes passion. Après trois ans, j’aboutis de nouveau en Angleterre. Je visitai Carlisle et mes cousins, puis, je me décidai à poser ma candidature comme professeur de runes ici même à Poudlard… Pour certaines raisons.

Il est évident qu’enseigner l’étude des runes m’aiderait à retrouver une vie, mais c’est aussi que mon long voyage m’a permis de faire des recherches. J’ai eu fort à découvrir et alors que je visitais les autres écoles de magie, j’ai retracé l’existence d’une personne qui m’apporte questionnement. Cette personne se retrouverait ici même à Poudlard. C’est ce dernier point qui acheva de me décider à revenir en Angleterre.

C’est mon histoire, ma douleur et ma rage envers se monde. Ne me jugez pas à cause de ses propos car qui donc peut comprendre ce que j’ai vécu? Ici même, j’espère retrouver ce que j’ai perdu. Mais ça, seul le temps me le dira.

Mon arrivé à Poudlard: Valise à la main, Chris regardait la silhouette du château se découper dans le ciel sombre de la soirée. Le château était très imposant et quelque peu menaçant aux premiers abords. Cependant, si on prenait le temps de regarder d’avantage, une étrange familiarité se retrouvait ici même.

Il n’y avait aucun vent et tous étaient déjà rentrés pour la répartition des élèves. La réouverture de cette école avait piqué au vif la curiosité de Chris. Au départ, il aurait seulement essayé de visiter l’école. Cependant, d’autres choses l’attiraient dans ses murs comme si, logiquement, c’était là qu’il devait être, absolument. D’un côté, il n’avait rien à perdre et tout à gagner. Au-delà de son désir de cette nouvelle expérience, il allait pouvoir partager son savoir avec des jeunes.

Avançant dans l’allé menant à la porte principale, solitaire, Chris souri sans aucune raison apparente. Cette année était pour lui un nouveau départ et il avait bien l’intention d’en profiter à fond.

Alors qu’il passa une grille, un drôle de pressentiment
vînt le troubler. Quelque chose d’étrange se préparait dans cette école et pour une fois, Chris vînt à douter de la signification de la réouverture de l’école. Oui, étrangement, il avait l’impression que ça impliquait d’avantage que l’éducation des jeunes. Mais quoi? Des forces allaient s’affronter. Chris vînt à penser que peut importe l’enjeu du combat, qu’il allait y prendre parti, qu’il allait faire valoir son point… À sa manière.

Dans une étrange sérénité, Chris entra dans l’école, sachant parfaitement qu’il était en retard. Pourtant, pour une fois, l’heure lui importait peu.

Comment avez-vous connu le forum? Quelqu’un me l’a fortement conseillé…Oui je parle de toi Mandra’

Personnalité sur l'avatar: Tom Welling

Code : [¤~¤]

Autre(s): J’ai enfin fini ma présentation Je suis vraiment content de mêtre inscrit!

Yiiipiiii !!!! Tu as enfin fait ta présentation^^
Et OUI je l'ai lut.... Très belle en passant !
Bienvenue^^

Invité

Bienvenue Chris
Ta présentation est vraiment épatante bravo Wink

Invité

Bienvenue^^

Invité

bienvenue et quelle courte présentation (ironique) Wink

o.O Je n'ai pas réussi à le lire, TROP LONG! Cé bon cé bon ^^ J'me la ferme.

Biienvenuhee

Bon, j'ai fini de lire et bienvenue ^^
Contente que tu aies terminées Razz

Je t'accepte sans hésitation, sauf que je veux simplement préciser une petite chose, tu es à l'école depuis seulement cette année scolaire, car l'année dernière, il y avait une autre prof' qui est «décédé» par «accident», bref...
Amuses-toi bien sur le forum Smile

Merci pour vos mots de bienvenue! Eh bien, je vois bien que les morts sont fréquents à cette école! ^^ Et c'est parti!