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Léa Jedusor Jackins I do belive there is a reason why we are who we are...
| Sujet: Un livre avec ça ? Lun 28 Jan - 16:28 | |
| C'est la vie? Je me doute, c'est toi et c'est moi qui a tout causer.Tout se qui se trouve ici, est purement fictif, rien n'est vrai, ou plus tôt, la plupart, une bonne majoritée. Chapitre un.Ce n'est pas l'intro, car avant l'introduction, il y a l'histoire.Lettre #1 Chère coquinette.
J'hésite à qui doner cette lettre. Valérie, parce que, même si elle a une grande boîte dès fois, je sens que je peux tout lui confier. Mélina parce que je sais qu'elle va me consoler ou Émile, car je croie qu'elle trouvera une solution pour m'aider. Mais, à la personne qui lira ceci, sacher, c'est pas le genre de secret qui est facile à avoué et que tout le monde devrait savoir.
On dirait qu'il y a de plus en plus de gens, plus précisément, de fille, qui vie ce que j'ai vécu et on fait rien à part créer une histoire avec. La plupart de ses personnes sont capable d'avouer se genre de secret à une personne et quelqu'un tendra les bras pour l'acceuillir et la consoler, tandis que moi, j'ai peur de ce que le monde vont penser, je me force un sourire quand j'ai le goût de fondre en larme. Tu sais, on voie ses filles sur la télévision, dans les films et même dans les romans qui se font violer. Elles devraient ce conter chanceuse. C'est pas arriver quand elles étèrent jeunes et naïves et ça n'a pas duré près de cinq ans. Je n'ai vraiment jamais aimé avouer la vérité ou dire se que je ressens en réalité. Pour moi, c'est semblabe à dire la fin du livre quand tu as même pas lue le début. Tu connais pas les personnages, ni leur histoire, ni leur caractère, juste s'ils meurent ou non. Pour savoir la raison de tout sur moi, il faut savoir le passé. Pas celui du voisin, mais le mien, celui que j'ai vécu. Quand tu es la plus jeune de ta famille, tu as toujours ta grande soeur comme idol, mais pour une fois, je voudrais être spéciale, ne pas vouloir l'aimé autant.
Tu devrais vraiment avoir l'envie de tourner les pages ou de passé quelques lignes pour savoir c'est quoi le but de cette lettre. Et croie moi, tu ne seras pas plus, car je vais vous le dire. Cependant, je pense que mon plus gros difficulté, c'est le mur que je dois traverser pour créer la structure de la phrase qui dira tout, le résumé d'un passé "cruel".
Je me suis jamais fait battue, ni violer, seulement toucher. Et oui, seulement. Car il me semble qu'il y a des cas plus "intenses" que de se faire "toucher" par son propre père presque pour seulement 5 ans. Je vais expliquer comment ça a commencé. Le début.
Mère. soeur parti, grand-papa absent, mon père en a profité pour faire le petit discour. « J'ai fait même avec ta grande soeur et elle n'avait pas dit non! » Je voulais être comme elle, donc, vous savez très bien le reste. Quand j'ai déménagé deux ans après [et ça a duré pendant tout se temps ], j'ai changé d'école et dans cette école, on expliqua que se qu'il faisait était mal, mais bien sûr, personne savait se qu'il me faisait, car j'avais jurer de ne rien dire. J'étais très évidament éffreyé de lui, mais je l'aimais trop pour "arrêter", je voulais pas lui faire de la peine [ j'était jeune ]. Puis, un autre deux ans à tout endurer. Ensuite, en secondaire 1, j'ai décidé de m'éloigner. Je pense qu'il savait mon but, car il s'était frustré, mais au moins, il avait compris et il a arrêté durant l'été entre secondair 1 et 2. J'étais ravi, non, j'était plus que ravi, joyeuse de m'avoir débarasser de lui. Si j'aurais pu, j'aurais chanté tout le temps, mais je me suis abstenu vue que j'avais pas une très belle voie. Puis, en secondaire 2, j'ai fait énormément de reflexion et j'ai réaliser quelque chose. Il savait comment me contrôler et ça ma fait ch*er. Pendant toute cette année, c'était la guerre contre moi-même et personne ne le savait. J'étais triste et détruite mais j'étais quand même capable de former un sourire pour rassurer tout ceux qui se doutait, c'était mon masque magique. Après j'ai réalisé que les rêves, il n'existent pas, on ne peut pas les transformés en réalité, seulement les cauchemars et je vivais le mien. Je sombrais de plus en plus dans mon propre enfer. J'était obliger de me créer une barrière pour me protéger. Et c'est comment mon caractère et ma façon de penser à la vie a été créer.
C'est seulement ça, mon passé, c'est seulement ça.
De : moi
À : toi
P.s.: J'ai enfin décidé à qui donner cette lettre et mes prochaines. À toi, la seule à comprendre, grand-maman. Tu es peut-être morte, mais pour moi, tu es toujours là, près de moi pour me prendre par la main et me guider vers le bon chemin. Si j'ai réalisé beaucoup de chose, c'est que tu me l'avais montré. Je t'aime et tu resteras toujours dans mon coeur.
P.s. 2: J'espère que ça va là haut. Tu sais dès fois, je voudrais te rejoindre, mais j'ai trop d'ami ici qui m'aime, que je voudrais pas leur faire de la peine. Merçi et bon séjour. ^^
P.s. 3: Si jamais tu voies grand-papa, car maman veut plus que je le voie, dit lui que l'aime aussi et qui me manque énormément. |
| | | Léa Jedusor Jackins I do belive there is a reason why we are who we are...
| Sujet: Re: Un livre avec ça ? Lun 28 Jan - 20:14 | |
| Chapitre 2Lire et comprendre ce qu'on lie, pourquoi est-ce que c'est si différent. Et l'humain, est-il une bête?Tu sais, dès fois tu lis un livre que ton professeur te dit de lire sans poser de question. Rien! Mais, moi, j'hésite pas. Un petite pourquoi ça, on aura des réponses, c'est pas si mal. Cependant, cette fois-çi, j'ai rien dis et j'ai lu. En premier lieu, j'avais trouvé se livre spécial. Le début m'envait un peu mêler, mais je me suis habitué, puis, de plus en plus que j'y pensais, j'y allais avec le rythme, je l'ai apprécié. Puis, ce que j'ai lu m'a fait pensé. Il expliquait qu'on pouvait facilement dire le contraire de se qu'on dit. On peu jouer avec la vérité et les mentries, on peu aimer le noir, puis décidé de ne plus l'aimé. C'est si facile de changer d'idée. Même les plus farouche peuvent aussi. Et je ne comprends pas en quelque sort, même si cela semble si simple, pourtant... Pourquoi est-ce que dieu, si il existe, nous à créer de cette façon, si sauvage. Puis, plus que j'y pense, plus que je me doute de l'existence de l'être humain. Ensuite, il avait le petit texte que notre même prof nous avait fait lire. Il parlait d'un homme, il était le dernier humain sur terre. Il disait que tout se qui existait avant, tout se qu'on voit, n'est plus là dans son temps, que c'est le desert dans le monde entier. Il parlait de comment ses grand-parents racontaient des histoires sur notre temps. De comment nous étions si avare et que nous nous sommes concentrés seulement sur des billets, des feuilles vertes qui nous donnait des milliers de choix dans la vie. Plus que j'y pensait, plus j'avais peur de la vie et plus que je réalisais. Qui était l'imbécile qui a créé l'argent et qu'est ce qu'il pensait, me semblait que nous devrions être libre, mais sommes-nous réellement libre ? On dirait qu'il y a toujours quelqu'un ou quelque chose qui nous contrôle, chacun de nos mouvements et nous avons plus d'expression, plus de droit. Et coup donc, pourquoi tout ça. Les hommes sont autant des primates qu'aux début des temps. La seule chose qui est sur leur tête, le sexe, l'argent et l'achool. Il est où l'intelligence dans tout ça. Et puis, qu'est-ce que les gens pensent de ça. Car il me semble que personne se questionne sur se que je viens de pensé. Même pas les scientifiques, ils sont trop occupé à guérir les maladies qu'ils ont tout créées eux même, puis, ils commencent toujours à nous blâmer, on n'a fait pas attention, blablabla... Mais le passé c'est le passé et le présent est le présent, puis, le futur est ce que nous devrions nous progeter dedans, car c'est celle-ci qui décide notre passé. Et si nous nous concentrons sur le futur, qu'est-ce que ça donnerait. Des personnes plus intelligents ? Des personnes avec de nouvelle idée ? Des personnes qui réaliseront beaucoup, qui ne se concentraient par sur leurs erreurs du passé, mais plus tôt pour éviter ceux qui sont proche? C'est ses genres de personnes qui devraient être sur la terre.Je dois te laisser une autre fois, maman m'appelle pour faire la vaisselle, mais sache, je t'en dirais plus sur tout ça. Sur le monde dans quoi je vie, tu verras, on a peut-être plus de liberté que dans ton temps, mais, nous sommes quand même contrôler par cette liberté.Je t'aime grand-maman et bisou.De : moiÀ : toi |
| | | Léa Jedusor Jackins I do belive there is a reason why we are who we are...
| Sujet: Re: Un livre avec ça ? Dim 24 Aoû - 19:53 | |
| Chapitre 3J'ai commencé à t'écrire...Salut Grand-maman. Je te donne quelques nouvelles sur moi. J'espère que t'apprécie.De plus en plus, je prends le temps de penser à moi, et aussi à penser à ce que je suis et qui je suis. Car souvent, les gens parlent d'eux même sans réaliser qui ils sont. Et c'est comme ça que les chicanes commencent. Lorsque quelqu'un se plaigne de quelque chose tu fais, et après t'argumente, que non, tu n'es pas comme ça... Pourquoi les gens peuvent pas tout simplement accepter ce que l'on dit. Depuis quelques mois, j'ai réalisé beaucoup. Que les gens ne voient pas leurs défauts, mais souvent, seulement leur qualité. Quand j'étais au primaire. L'enseignante nous avait demandé de faire une caricature de nous même avec des exemples et d'écrire à coté du dessin nos qualités et nos défauts... J'avais ris. Je me suis dit que ça serait plus facile trouver mes défauts que mes qualités, mais au contraire. Je les voyais mes qualités, mais mes défauts, je ne les connaissais pas... Dans se temps là, j'avais écrit n'importe quoi. Mais aujourd'hui je les connais très bien... C'est épouvantable. Qu'est-ce que tant penser mamie? Tu sais, lorsque tu étais vivante, je n'avais jamais eu la chance de t'appeler mamie... Il avait tellement de choses que je n'avais pas pu te dire. Et je regrette que c'est aujourd'hui que je les vois, toute la beauté et toute la chance que j'avais d'être près d'une femme autant extraordinaire que toi. Tu étais silencieuse, oui, mais juste t'a présence m'éclaircisait énormément. Tu me faisais sourire, et même aujourd'hui, quand je vois tes photos. J'ai juste le gout de faire un beau sourire devant ton image si jolie. Pourquoi es-tu parti? En plus, les seuls grands-parents qui me restent, je ne les vois plus. J'ai la chance de parler dès fois, comme une fois par année à mamie sur le côté de papa, mais on dirait ce n'est pas asser. Tu sais, quand je lui parle, à mamie du côté de papa, je pleure, car je pense chaque fois, que peut-être la prochaine fois, je n'aurai pas la chance de lui dire que je l'aime, que je pense à elle, que j'ai été très chanceuse de l'avoir comme grand-maman, comme toi. J'ai commencé à t'écrire en pensant que je pourrais parler de comment maman me tombe sur les nerfs lorsqu'elle chiale des accidents de papa quand elle devrait être contente d'être avec lui et que la raison pourquoi il est si triste est qu'elle n'arrête pas de le baiser, trop. Il est un homme merveilleux, si on lui donne la chance. Il n'a que perdu un peu de jus pour vivre, car on la volée, mais sinon, je vois qu'il se force, trop... Et qu'il abandonne après. J'ai commencé à t'écrire pour parler du monde affreux d'aujourd'hui, la façon dont tout le monde est. Tu sais, beaucoup de gens sont impolis et centré sur eux aujourd'hui. On dirait que les gens sur la rue ne savent pas comment faire un joli sourire. J'ai commencé à écrire en voulant simplement parler de comment tu étais si chanceuse d'être là haut. De comment je pense à toi, tous les jours. De : MoiÀ : Toi |
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